19 septembre 2008
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18:19
Le beau temps était avec nous ce jeudi 18 septembre et heureusement parceque beaucoup étaient en short pour traverser le ruet.
Devant Saint Martin de Bréhal le ruet est un petit bras de mer qui se retire au dernier moment et ce uniquement pendant les grandes marées. De l'autre côté on remonte sur un plateau, herbu, fait de pailleule ou de verdrières (les noms changent suivant les régions et même les villages) et c'est là qu'on trouve les praires.
Cet écosystème est très fragile, l'herbe (on l'appelera comme cela) retiens le sable et la vase. Sur et sous l'herbe vivent de nombreuses sortes d'animaux qui ont leur rôle à jouer à tous niveaux pour le maintiens de l'équilibre de la biodiversité. Il n'y a pas que l'herbe qui retiens le sable il y a tous les vers (annélides) et aussi les algues.
Verdrières massacrées par les râteaux et pourtant
le râteau est interdit pour la pêche à la praire.
Il suffit de taper le sol avec des piques à deux dents, avant je pêchait simplement au doigt et à l'oeil, les praires pissent rien qu'avec nos pas.
De plus en râtissant les personnes font vibrer le sol de méchantes façons de telle sorte que les praires se ferment à 100 mêtres autour d'eux.
Sur l'estran faut pas que j'en voie passer près de nous, je leur dit haut et fort que le râteau est interdit et qu'ils ont intérêt à s'éloigner de nous en leur expliquant non seulement les dégats causés mais aussi le dérangement et que nous nous pêchons de façon respectueuse. La pêche à pied est un plaisir que l'on peut partager avec des amis ou en famille, mais où est le plaisir avec les râteaux sauf pour des sadiques ou les masos parcequ'ils se font mal au dos. J'exagère mais ils m'énervent. Je positive maintenant. Beaucoup de personnes viennent à nos stages de pêche parceque d'un seul coup ils apprennent que l'on peut faire autrement et ils sont bien contents de remettre leur râteau dans le jardin, en plus ils disent tous qu'au moins comme cela c'est un vrai plaisir. Annie
Devant Saint Martin de Bréhal le ruet est un petit bras de mer qui se retire au dernier moment et ce uniquement pendant les grandes marées. De l'autre côté on remonte sur un plateau, herbu, fait de pailleule ou de verdrières (les noms changent suivant les régions et même les villages) et c'est là qu'on trouve les praires.
Cet écosystème est très fragile, l'herbe (on l'appelera comme cela) retiens le sable et la vase. Sur et sous l'herbe vivent de nombreuses sortes d'animaux qui ont leur rôle à jouer à tous niveaux pour le maintiens de l'équilibre de la biodiversité. Il n'y a pas que l'herbe qui retiens le sable il y a tous les vers (annélides) et aussi les algues.
Verdrières massacrées par les râteaux et pourtant
le râteau est interdit pour la pêche à la praire.
Il suffit de taper le sol avec des piques à deux dents, avant je pêchait simplement au doigt et à l'oeil, les praires pissent rien qu'avec nos pas.
De plus en râtissant les personnes font vibrer le sol de méchantes façons de telle sorte que les praires se ferment à 100 mêtres autour d'eux.
Sur l'estran faut pas que j'en voie passer près de nous, je leur dit haut et fort que le râteau est interdit et qu'ils ont intérêt à s'éloigner de nous en leur expliquant non seulement les dégats causés mais aussi le dérangement et que nous nous pêchons de façon respectueuse. La pêche à pied est un plaisir que l'on peut partager avec des amis ou en famille, mais où est le plaisir avec les râteaux sauf pour des sadiques ou les masos parcequ'ils se font mal au dos. J'exagère mais ils m'énervent. Je positive maintenant. Beaucoup de personnes viennent à nos stages de pêche parceque d'un seul coup ils apprennent que l'on peut faire autrement et ils sont bien contents de remettre leur râteau dans le jardin, en plus ils disent tous qu'au moins comme cela c'est un vrai plaisir. Annie